CARMEN GONZÁLEZ CASTRO

Carmen González Castro (Grenade, 1982) est diplômée de l’École des Beaux-Arts de Grenade avec Mention d’Honneur. Elle obtient un doctorat européen des Beaux-Arts en 2011 et réalise un Master en Investigation, Art et Création à l’Université Complutense de Madrid en 2012. Aujourd’hui, elle vit et travaille à Madrid et donne des cours en tant que professeure de dessin à la Faculté des Beaux-Arts de l’Université Complutense de Madrid. Elle a gagné de nombreuses récompenses, parmi lesquelles le second prix du Concours de Jeune Peinture de Grenade (mairie de Grenade, 2017), finaliste du Prix International de Peinture Guasch Coranty (Sala de l’Hospitalet, Barcelone, 2015), ou encore le Prix Malaga Crea (CAC de Malaga, 2015). Son œuvre est présente dans les collections de la Députation de Malaga et de la mairie de Grenade.
Carmen González Castro a exposé individuellement à la Galerie Punto Rojo (Grenade, 2014), Ramsés Life and Art (Madrid, 2014), Galerie Ruiz-Linares (Granada, 2017), Galerie LA Projects (Madrid, 2017); Institut América-Centro Damián Bayón (Santa Fe, Grenade, 2017) et le Palais de La Madraza (Grenade, 2019). Elle a notamment participé à de nombreux concours et expositions collectives à Grenade, Malaga, Séville, Madrid, Barcelone, Londres et dans des Institutions telles que le Musée Carmen Thyssen de Madrid, le Centre d’Art Contemporain (CAC) de Malaga, le Centre Culturel Conde Duque de Madrid. Elle collabore fréquemment avec les galeries madrilènes Factoría de Arte y Desarrollo, 6mas1, Fernando Pradilla. Enfin, elle a participé à des foires internationales comme ArtChicó 3 à Bogotá et ARCO Madrid. Nous avons exposé ses œuvres lors de l’exposition collective « Collective anniversaire 1 » en mai 2019 à Madrid et la représentons à présent en exclusivité en France, à Paris.
Le travail de Carmen González Castro se focalise sur le corps humain. En revisitant des thématiques mythologiques, Carmen interroge les canons de beauté actuels et la perception que nous en avons en comparaison avec d’autres époques. Sa peinture réaliste s’inspire du style de la nouvelle figuration, ses portraits ne sont jamais hyperréalistes, c’est pourquoi elle a souvent recours à la déformation.